C'était bien, c'était chouette... : sur Et puis, Paulette de Barbara Constantine - une lecture critique de Caroline
Pour le titre de chanson ça va être facile cette fois-ci!!! Et ça tombe bien parce que ce livre en est une. Une chanson ancienne du style des amants de Saint-Jean, non, plutôt du Brel. C'est pas Fernand mais Ferdinand, un grand père un peu bourru qui se retrouve tout seul dans sa ferme immense, quand son fils et sa famille s'installent dans le bourg pour y tenir un restaurant. Alors pour l'emmerder son fils, Ferdinand, il va boire son petit blanc tous les jours à la terrasse d'en face chez son concurrent... Mais c'est qu'en fait il a mal, surtout de plus voir P'tit Lu et Ludo, ses petits fils. Et puis un jour sur la route, il trouve le chien de Marceline, sa voisine polonaise à qui il n'a jamais parlé depuis qu'elle s'est installée voilà 6 ou 7 ans, le chien est comme fou alors il le raccompagne chez sa maîtresse et là y a comme une odeur de gaz... Alors Ferdinand va sauver Marceline, d'abord du gaz (ce sont les souris qu'ont bouffé le tuyau) et puis de la tempête quand le toit de sa maison s'envole... Mais il ne va pas sauver qu'elle, parce que Ferdinand il a une grande maison... un ami, des vieilles dames, des étudiants, un âne savant, des chats... Et puis Paulette... c'était vraiment chouette.