Here, there and everywhere* : sur Rue des voleurs de Mathias Enard - une lecture critique de Stéphane
Après Jérôme Ferrari, j'avais le choix entre Gaudé, Arditi, Mouawad et Claro dans cette belle rentrée des éditions Actes Sud. Ou... Enard. Bonne pioche! (mais j'ai l'impression que cette année, la main est chanceuse et que tout titre de la maison d'Arles...