Demain, le temps sera plus vieux* : sur De Beaux Lendemains de Russell Banks - une lecture critique d'Alexandre
Cela débute par un frisson de quarante pages. Une catastrophe est annoncée entre les lignes. « Un chien – c’est un chien que j’ai vu, j’en suis sûre. Ou que j’ai cru voir ». « Ça ressemblait au fantôme d’un chien, ce que j’ai vu : une tache floue, d’un...