UN ETE A LA MER (presque sur Giuseppe Culicchia)
Les vacances commencent. Je devais vous parler du
quatrième roman de cet italien, traducteur de Bret Easton Elis. J'ai beaucoup aimé : c'est drôle, sarcastique, un peu érotique... tout ce que j'aime.
Mais je n'aurai pas le temps de m'étendre. Demain les vacances, la plage, le soleil (peut-être). J'ai plein de trucs à faire. Faut choisir les CDs que j'emmène. Et les livres.
Pas fastoche. Je suis limité en place avec les gosses... Le petit dernier prend le volume de deux adultes avec son lit, sa poussette, et tout le bazar. Pas question d'emporter 10 livres comme les
autres années, en misant sur le fait que je ne lirai pas intégralement la moitié du lot (la rentrée littéraire, on en reparlera, est faite de déceptions autant que de plaisir)
Donc, trois livres.
"OK, chérie? Trois?
Ouais...
En plus de celui que j'ai commencé hier, bien sûr... Et de celui que j'emmène, juste pour les toilettes (Bertrand, chez Julliard parce que les textes sont courts, intelligents et drôles.)
T'es chiant, hein..."
Eh oui. La vie du libraire est dure, m'sieurs dames.
Mais on va finir avec une bonne nouvelle : le pape s'est cassé le poignet et ne peut plus écrire.
La production de l'année s'en trouve changée. Pas mes vacances!
Bonnes vacances à tous! Bonnes lectures!
Signé Stéphane.