Astrolabe romanesque : sur Les Luminaires d'Eleanor Catton - une lecture critique de Stéphane
En 988 pages Eleanor Catton démontre que le grand roman du XIXe siècle n'est pas mort. Ca débute comme ça : "Les douze hommes assemblés au fumoir de l'hôtel de la Couronne donnaient l'impression d'un groupe réuni par le hasard." Mais l'impression est...